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Nouvelles tensions sociales chez Brussels Airlines : Les techniciens au sol envisagent une grève

Grève Brussels Airlines

Après les personnels navigants commerciaux (PNC) et les pilotes, c’est désormais au tour des techniciens au sol de songer à une grève Brussels Airlines, en cas d’échec des tentatives de conciliation.

Les revendications des techniciens

Les techniciens de Brussels Airlines expriment leur mécontentement quant à leurs conditions de travail et sollicitent une conciliation, selon les représentants syndicaux de l’ACV Puls/CNE et du BBTK/Setca. Olivier Van Camp, secrétaire permanent du syndicat BBTK, souligne un malaise grandissant parmi le personnel, précisant qu’un troisième groupe envisage de déposer un préavis de grève.

Tensions croissantes et préavis de grève

Jolinde Defieuw, du syndicat chrétien ACV Puls, observe également une intensification des tensions. Elle rapporte qu’une enquête menée auprès du personnel révèle que de nombreux employés sont prêts à passer à l’action si la tentative de conciliation échoue, laissant entrevoir un possible dépôt de préavis de grève dans un second temps.

Réponse de la direction de Brussels Airlines

La direction de la compagnie réagit en reconnaissant les points d’amélioration nécessaires pour le personnel de la division “Maintenance et Engineering”. Elle affirme son engagement à poursuivre les négociations avec les syndicats pour trouver des solutions équilibrées, à court et à long terme, dans un marché très compétitif.

Contexte des précédents préavis de grève

En novembre, les syndicats représentant le personnel de cabine et les pilotes avaient déposé des préavis de grève pour la fin de l’année, préavis qui ont été évités jusqu’à présent grâce à des propositions de la direction. Un accord a été conclu pour les pilotes, prévoyant des mesures visant à rendre leurs horaires plus supportables, notamment un repos accru dans certains cas et la possibilité pour les pilotes d’utiliser trois “jokers” par an sur des liaisons difficiles. Cependant, les négociations avec le personnel de cabine s’avèrent plus ardues, et un accord semble nécessiter davantage de temps, selon Olivier Van Camp du syndicat BBTK.