IATA : la stabilité revient d’ici 2024
Les choses ne sont plus passées comme prévu pour l’Association du Transport Aérien Intestinal, la reprise des activités a pris un peu plus de temps que prévu. Une raison fondamentale qui a amené l’IATA à repousser ses prévisions de reprise à la normale des trafics passagers sur 2024 par rapport à celles antérieures relativement aux impacts de la covid-19.
IATA : des prévisions pessimistes
Il y a quelques mois l’IATA avait annoncé des prévisions sur le retour à la normale des trafics des passagers, mais confrontées à la réalité de la reprise nonchalante des activités dans les régions européennes en juin dernier, fait de nouvelles projections sur 2024. Des prévisions à la fois audacieuses et pessimistes comme celles du retour à la normale des trafics passagers. Notons que le 29 juillet 2020, IATA est revenu à la charge par rapport à ses prévisions d’autres fois et mise désormais sur 2024, mais toujours sur le même élan audacieux.
Selon les estimations de cette association, le retour glorieux à l’étape prépandémie serait une réalité entre 2022 et 2023. Pour cette année 2020 en cours, le taux de trafics passagers dans le monde entier a chuté de 55% en considération des trafics de 2019. Une chute aggravée en juin 2020 soit 86,5% par rapport toujours à l’année écoulée.
Les tendances annonçant un retour certain à la normale plus pessimiste
Pour que l’IATA fasse ses nouvelles prévisions relatives à la reprise certaine des trafics, elle ne s’était pas véritablement basée sur certains critères très déterminants. Disons que les nouvelles prévisions de l’IATA manquent toujours d’objectivité.
En effet, elle devrait prendre en compte l’endiguement lent du virus aux USA, en Chine et autre pays du monde qui continuent d’être fermés à l’extérieur ou l’international. Or, ils détiennent plus 40% de la part des trafics aériens. Ensuite, la réduction et la méfiance des voyages d’affaires devraient être plus restrictives à cause des pressions financières que subiront les entreprises de toute part.
Enfin, la méfiance des consommateurs parce que les visites d’amis et de parents ne sont toujours pas acceptées avec beaucoup de réserves.